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Henri Guaino - Conseiller spécial de Nicolas Sarkozy (2007-2012)
Complément d'enquête- Décryptage & investigation
- 14 min 33 s
- extrait
- tous publics
publié le 12/04/2024 à 08h50
Henri Guaino, ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy revient sur les affaires entourant l'ancien président. Pour lui, dans ces affaires rien n'a été prouvé concernant l'ancien chef d'Etat et il faudrait interroger le statut de la preuve. Il ne conçoit pas qu'il puisse se mêler de ces affaires et refuse d'interpréter les sms litigieux. Ce sont des "indices" mais pas des "preuves". Quant à la campagne libyenne, il affirme qu'il s'agit de "l'intime conviction des magistrats" fondée sur des déclarations "des uns et des autres" dont il remet en question l'honnêteté. Sur l'évocation de messages entre Rachida Dati et Brice Hortefeux au sujet d'argent liquide que ce dernier aurait perçu de la part de Takieddine, il affirme ne rien savoir de cela, et que c'est aussi le cas de Nicolas Sarkozy. Pour lui, Nicolas Sarkozy n'est pas capable de faire ce dont on l'accuse et le souci provient de l'institution judiciaire. Il remet en question l'indépendance des juges par rapport à "leurs propres a priori" et "leurs propres préjugés".
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publié le 12/04/2024 à 08h50
Henri Guaino, ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy revient sur les affaires entourant l'ancien président. Pour lui, dans ces affaires rien n'a été prouvé concernant l'ancien chef d'Etat et il faudrait interroger le statut de la preuve. Il ne conçoit pas qu'il puisse se mêler de ces affaires et refuse d'interpréter les sms litigieux. Ce sont des "indices" mais pas des "preuves". Quant à la campagne libyenne, il affirme qu'il s'agit de "l'intime conviction des magistrats" fondée sur des déclarations "des uns et des autres" dont il remet en question l'honnêteté. Sur l'évocation de messages entre Rachida Dati et Brice Hortefeux au sujet d'argent liquide que ce dernier aurait perçu de la part de Takieddine, il affirme ne rien savoir de cela, et que c'est aussi le cas de Nicolas Sarkozy. Pour lui, Nicolas Sarkozy n'est pas capable de faire ce dont on l'accuse et le souci provient de l'institution judiciaire. Il remet en question l'indépendance des juges par rapport à "leurs propres a priori" et "leurs propres préjugés".
Présenté par : Tristan Waleckx