Karine Jacquemart, directrice générale de l'association Foodwatch France La vidéo n'est pas disponible

Karine Jacquemart, directrice générale de l'association Foodwatch France

Complément d'enquête

  • francetv
  • Décryptage & investigation
  • 10 min 23 s
  • indisponible
  • tous publics
Suite au reportage "Inflation : les coups bas des hypers", entretien avec Karine Jaquemart, directrice générale de l'association Foodwatch France. Grâce à son association on a appris un nouveau mot la "Shrinkflation" qui consiste à baisser les quantités contenues dans un produit tout en maintenant le même prix. Les marques ont toutes de bonnes raisons pour justifier ces pratiques qui demeurent non acceptables pour notre invitée qui déplore un manque de transparence. Dans ce cas, le rapport qualité prix est altéré par cette pratique. Pour elle, il faudrait que tous les acteurs de la chaine prennent leur responsabilité et indiquent clairement les quantités et prix correspondants : les fournisseurs sur l'emballage et les distributeurs dans les rayons.  La pratique de la Shrinkflation est légale, mais les associations appelent les pouvoirs publics à règlementer cette pratique. La ministre Olivia Grégoire a réagi à cette enquête et annoncé ouvrir une enquête publique par le biais du Conseil national de la consommation. Une bonne nouvelle pour Karine Jaquemart qui a lancé l'alerte sur cette pratique. 

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Suite au reportage "Inflation : les coups bas des hypers", entretien avec Karine Jaquemart, directrice générale de l'association Foodwatch France.

Grâce à son association on a appris un nouveau mot la "Shrinkflation" qui consiste à baisser les quantités contenues dans un produit tout en maintenant le même prix. Les marques ont toutes de bonnes raisons pour justifier ces pratiques qui demeurent non acceptables pour notre invitée qui déplore un manque de transparence. Dans ce cas, le rapport qualité prix est altéré par cette pratique. Pour elle, il faudrait que tous les acteurs de la chaine prennent leur responsabilité et indiquent clairement les quantités et prix correspondants : les fournisseurs sur l'emballage et les distributeurs dans les rayons. 

La pratique de la Shrinkflation est légale, mais les associations appelent les pouvoirs publics à règlementer cette pratique. La ministre Olivia Grégoire a réagi à cette enquête et annoncé ouvrir une enquête publique par le biais du Conseil national de la consommation. Une bonne nouvelle pour Karine Jaquemart qui a lancé l'alerte sur cette pratique.