Dans le dixième arrondissement de Paris, le docteur Elisabeth Avril est directrice de salle de consommation à moindre risque, plus communément appelée « salle de shoot ». « Nous on leur fournit le lieu, le matériel stérile pour injecter et ensuite un repos, une salle où l’on peut surveiller s’ils font des malaises car ce sont des gens qui sont dans un état de santé préoccupant pour certains » explique le médecin. « On leur offre aussi des services médicaux et sociaux ». Selon une étude de l’Inserm, ces salles de consommation présentent des résultats positifs avec -69% d’overdose, -71% des passages aux urgences et « une diminution significative des seringues abandonnées dans l’espace public ». Le docteur Elisabeth Avril estime qu’il faudrait au minimum 6 salles de consommation en Île-de-France pour répondre aux besoins de santé et de tranquillité publique.
Dans le dixième arrondissement de Paris, le docteur Elisabeth Avril est directrice de salle de consommation à moindre risque, plus communément appelée « salle de shoot ». « Nous on leur fournit le lieu, le matériel stérile pour injecter et ensuite un repos, une salle où l’on peut surveiller s’ils font des malaises car ce sont des gens qui sont dans un état de santé préoccupant pour certains » explique le médecin. « On leur offre aussi des services médicaux et sociaux ». Selon une étude de l’Inserm, ces salles de consommation présentent des résultats positifs avec -69% d’overdose, -71% des passages aux urgences et « une diminution significative des seringues abandonnées dans l’espace public ». Le docteur Elisabeth Avril estime qu’il faudrait au minimum 6 salles de consommation en Île-de-France pour répondre aux besoins de santé et de tranquillité publique.
