En ces temps de campagne électorale, tous les coups semblent permis. Déjà présente lors de la précédente en 2017, la technologie et plus précisément les sociétés de Data électorale jouent un véritable rôle aujourd'hui. En effet, engagées par les candidats, ces dernières servent à récolter des données et à les analyser afin de cibler, par exemple, des abstentionnistes pour tenter de les convaincre à voter pour tel ou tel candidat. Jacques Priol, ancien membre de l’état major du Parti socialiste, a fait partie de la campagne de Lionel Jospin en 2002. Désormais président de l'observatoire Data Publica, il répond aux questions de Tristan Waleckx, notamment sur les actions de ciblage à caractère religieux qu'à utiliser Éric Zemmour et qui seraient complètement interdites.
En ces temps de campagne électorale, tous les coups semblent permis. Déjà présente lors de la précédente en 2017, la technologie et plus précisément les sociétés de Data électorale jouent un véritable rôle aujourd'hui. En effet, engagées par les candidats, ces dernières servent à récolter des données et à les analyser afin de cibler, par exemple, des abstentionnistes pour tenter de les convaincre à voter pour tel ou tel candidat.
Jacques Priol, ancien membre de l’état major du Parti socialiste, a fait partie de la campagne de Lionel Jospin en 2002. Désormais président de l'observatoire Data Publica, il répond aux questions de Tristan Waleckx, notamment sur les actions de ciblage à caractère religieux qu'à utiliser Éric Zemmour et qui seraient complètement interdites.
