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Le Roi Lear de Shakespeare par Olivier Py au Festival d'Avignon 2015

Festival d'Avignon

  • francetv
  • Théâtre et danse
  • 2015
  • 2 h 45 min
  • indisponible
  • tous publics
Entre luttes de pouvoir, héritage et duplicité, une famille se déchire sur le plateau de la majestueuse Cour d’Honneur du Palais des Papes. Une course haletante vers l’autodestruction barbare.    Les rois humiliés Lear et Gloucester sombrent peu à peu dans le désespoir pendant que leur progéniture manigance. Lear met son héritage en concurrence, la plus digne de lui succéder parmi ses trois filles sera celle capable lui exprimer son attachement avec démonstration. Mais le silence assourdissant et énigmatique de sa fille Cordélia le plonge dans la folie et l'incompréhension, annonciatrices de la catastrophe à venir.    La traduction en vers libre du texte par d’Olivier Py met en exergue un paradoxe autour duquel les tensions se cristallisent : la parole se pose comme instrument de manipulation tandis que le silence est une preuve d'intégrité. Olivier Py propose une mise en scène moderne, rendant justice à la contemporanéité de la pièce de Shakespeare qui a pour toile de fond l’absurdité du monde.   Traduction et mise en scène : Olivier Py Scénographie, décor, costumes et maquillage : Pierre-André Weitz Lumière : Bertrand Killy Son : Rémi Berger Spirou Assistanat à la mise en scène : Thomas Pouget Technique et production : Festival d'Avignon

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Entre luttes de pouvoir, héritage et duplicité, une famille se déchire sur le plateau de la majestueuse Cour d’Honneur du Palais des Papes. Une course haletante vers l’autodestruction barbare. 

 

Les rois humiliés Lear et Gloucester sombrent peu à peu dans le désespoir pendant que leur progéniture manigance. Lear met son héritage en concurrence, la plus digne de lui succéder parmi ses trois filles sera celle capable lui exprimer son attachement avec démonstration. Mais le silence assourdissant et énigmatique de sa fille Cordélia le plonge dans la folie et l'incompréhension, annonciatrices de la catastrophe à venir. 

 

La traduction en vers libre du texte par d’Olivier Py met en exergue un paradoxe autour duquel les tensions se cristallisent : la parole se pose comme instrument de manipulation tandis que le silence est une preuve d'intégrité. Olivier Py propose une mise en scène moderne, rendant justice à la contemporanéité de la pièce de Shakespeare qui a pour toile de fond l’absurdité du monde.

 

Traduction et mise en scène : Olivier Py

Scénographie, décor, costumes et maquillage : Pierre-André Weitz

Lumière : Bertrand Killy

Son : Rémi Berger Spirou

Assistanat à la mise en scène : Thomas Pouget

Technique et production : Festival d'Avignon

Réalisé par : Vitold Krysinsky

Produit par : La Compagnie des Indes

Avec : Avec Jean-Damien Barbin, Moustafa Benaïbout, Nâzim Boudjenah (de la Comédie-Française), Amira Casar, Céline Chéenne, Eddie Chignara, Matthieu Dessertine, Émilien Diard-Detoeuf Oswald, Philippe Girard, Damien Lehman, Thomas Pouget , Laura Ruiz Tamayo, Jean-Marie Winling