Yann Arthus-Bertrand, insatiable défenseur de la nature, nous présente un documentaire formidable sur la biodiversité française qui s’appelle “Vivant”. Il met en lumière la biodiversité la plus riche d’Europe et nous livre des images spectaculaires. Le réalisateur insiste sur l’interconnexion des êtres vivants entre eux et nous fait découvrir des espèces dont on ignorait l’existence. Il évoque la dépendance de l'homme à l'égard de cette biodiversité indispensable à sa survie parmi laquelle on compte les abeilles et des organismes microscopiques : les bactéries ou les champignons. Yann Arthus-Bertrand revient également sur son rapport au transport aérien qu'il a décidé de limiter en passant désormais par des drones pour filmer ses images afin de réduire son empreinte carbone et d'être plus en accord avec ce qu'il souhaite protéger à tout prix : la nature. Il est aussi devenu végétarien, et insiste sur l'importance d'arrêter la consommation de viande industrielle qu'il décrit comme responsable de la "destruction de la planète".
Yann Arthus-Bertrand, insatiable défenseur de la nature, nous présente un documentaire formidable sur la biodiversité française qui s’appelle “Vivant”. Il met en lumière la biodiversité la plus riche d’Europe et nous livre des images spectaculaires.
Le réalisateur insiste sur l’interconnexion des êtres vivants entre eux et nous fait découvrir des espèces dont on ignorait l’existence. Il évoque la dépendance de l'homme à l'égard de cette biodiversité indispensable à sa survie parmi laquelle on compte les abeilles et des organismes microscopiques : les bactéries ou les champignons.
Yann Arthus-Bertrand revient également sur son rapport au transport aérien qu'il a décidé de limiter en passant désormais par des drones pour filmer ses images afin de réduire son empreinte carbone et d'être plus en accord avec ce qu'il souhaite protéger à tout prix : la nature.
Il est aussi devenu végétarien, et insiste sur l'importance d'arrêter la consommation de viande industrielle qu'il décrit comme responsable de la "destruction de la planète".
